PAROLES DE L'ALBUM "ÉVEIL" :
(Présentes également dans le livret du CD)
Synchronicité
Je suis parti, dans la direction de mon cœur,
J’ai traversé les pays, en sublimant,
sublimant mes peurs.
A la rencontre de l’identité
A la recherche de la réalité
Pour me convaincre de ce que je suis.
Pour bien comprendre ce qu’est la Vie.
Missionnaire d’une nouvelle dimension
Suivant les signes sans aucune raison
Se laisser porter par la confiance
Se laisser tomber dans le flot de l’expérience,
Créer à chaque instant, de manière constante
La matière vibrante
Percer les mystères de l’univers,
Guider par la lumière
Dans cette éternelle prière.
Je suis parti dans la direction de mon cœur
J’ai traversé les pays, en sublimant,
sublimant mes peurs.
Je vous aime, je vous aime
D’une manière sans limite
Et je sème et je sème
Cette idée en orbite.
Chaque geste, comme une cérémonie,
Manifeste pour chaque être la paix, l’harmonie.
Chaque pensé, chaque intention
Se doit d’être au plus au point
Afin d’augmenter la vibration,
D’illuminer tout les matins.
Je suis parti dans la direction de mon cœur
J’ai traversé les pays en sublimant,
sublimant mes peurs.
Silence mélodieux
Ô au vent volent vos voix
Vos voix vives et vivantes
Nous ravivant de volonté.
Vous les vendeurs de vouloir
Vous, alors avides de tout voir.
Ô constellation bénie, gravitent les amis
Autour de moi qui vous souris.
Sourire, d’amour sans condition
Mon cœur un puits sans fond
Désaltérons-nous sans façon.
Il y a dans cet instant
Tout à voir, des sentiments à suivre
Avec toi, prenons le temps
De s’échanger de ce qui nous fait vivre.
La vie est longue et infinie
Alors profitons aujourd’hui,
Enflammons-nous encore une fois
Et à genoux remercie-toi !
Ô au vent volent vos voix,
Vos voix vives et vivantes,
Nous ravivant de volonté.
Vous les vendeurs de vouloir
Vous, alors avides de tout voir.
Jamais, le grand tissu ne se froisse
Je ne connais pas l’angoisse,
Seulement la musique de l’espace.
Un silence mélodieux
Qui me lance et me livre au milieu
Des savoirs intégrés ambitieux
De la terre fécondée par les cieux.
Un silence harmonique tout puissant
Qui me guide et mon cœur en avant
A vous respecter intensément
A vous considérer simplement
La puissance physique du vivant
Qui me donne la force des géants
A l’acceptation transcendant
Cette tentation aux tourments.
Ô au vent volent vos voix
Vos voix vives et vivantes
Nous ravivant de volonté.
Vous, les vendeurs de vouloir
Vous, alors avides de tout voir.
L’essentiel
De grandes marches de pierres,
De grandes arches de guerre,
La citée des hommes connaîtra-t-elle la lumière ?
De grandes portes de marbre,
Où poussaient jadis les arbres
Comme un beau dessin que l’on gomme,
Que toute la puissance du cerveau ne saura refaire.
Et des avenues de goudron
Que l’on voit jusqu'à l’horizon et
Des tours dans le ciel faites toutes en béton
Par tant d’êtres qui avaient de bonnes raisons.
En dansant toute la nuit sur les drogues,
En portant des habits car en vogue
Se demande-t-on bien encore
A quoi diable sert ce drôle de corps ?
Et à quoi peut servir cette somme de profit
Si c’est pas pour partir au delà des ennuis
Et s’enfuir en marchant dans la direction du paradis,
De mon paradis.
Je quitte les terres arides où la mort règne,
Où la folie nous guide et la peur nous imprègne.
(bis)
Mais si tu pars c’est pour créer l’espoir,
Pour mieux revenir et nous dire jusqu'à croire
Que tu as vu les vallées, les villages des anges
Où les enfants riaient, il pleuvait des louanges.
Où les femmes aux seins nus souriaient pour de bon
Et les hommes convaincus ne se posaient plus de question.
Tu as vu les forêts, les cabanes dans les bois
Où l’on respecte tout, même ce qui ne se voit pas.
Et bientôt les villages
Et nos grandes cités
Seront sur ce nuage
De félicité.
(bis)
Parce que vous le voulez vous allez le créer
Et vous rendre enfin compte du pouvoir infini
Que vous avez retenu depuis tout petit
Vous n’êtes pas ce con, ce qu’on vous a dit.
Mais cette force magique qui fait pousser les fleurs
Cet élan magnifique de vie et de bonheur,
Vous êtes la nature et la nature est belle
Et pour en être sûr écoutez :
L’essentiel !
L’enfant grand
L’objectif divin
N’est pas cause perdue
Mais à portée de main,
Je vous dis je l’ai vu
Par un ange Firmin
Et loin d’être déchu
Il ma dit : « ce chemin
Tu y cours dessus ».
L’amour vole entre tous
Cessons de retenir
Ces puissantes secousses
Pour du songe sortir.
N’attache point mon frère
A ta sœur ton âme !
Trouve en toi l’univers
L’amour de toutes les femmes !
Et complet tu seras
Face à toute la vie.
De vrais choix tu feras
Car tu n’as plus suivi,
Ni d’écrits, ni de dits,
De parents, de gurus...
D’un savoir inédit
En toi naîtra la roue.
***
Ne soyez pas farouche
Laissez-le donc s’exprimer
Dessous toutes ces couches
Cet enfant grand et animé.
Il veut rire et pleurer
Oh parfois même il veut crier
De colère, de beauté
Mais laissez-le enfin vibrer.
Cultivant l’authentique
Alors vous vous découvrirez,
Comme de la musique
Modulant sans arrêt.
C’est un meurtre à mon sens
De faire taire au profond
Qui bouillonne l’essence
Pour quelques ingrates raisons.
Vous n’êtes pas coupable
Vous n’êtes pas petit,
Vous êtes le grain de sable
Et puis la plage infinie.
Montrez-moi si votre âme
Est-elle de feu où bien de terre !
Montrez-moi que la flamme
Qui est faite d’eau peut-être d’air,
Danse et chante derrière
Derrière vos deux yeux en barrière !
D’un rêve de l’esprit
Oh je vous ôte aujourd’hui,
Ce voile de la honte
Oh qui vous pie et qui vous suit
Occultant ce qui monte
Ce qui vous monte au paradis.
***
J’ai marché tout comme vous
Dans ces pays arides.
Mis à terre un genou
Et vu en moi le guide.
J’aperçus la lumière
Au delà des mentaux
Que nous tissent en enfer
Les tissus de l’ego.
J’ai croisé mille fois
Ces tendances animales
Ressenti le vent froid
Des souffrances normales
Aujourd’hui je soupire
Et regarde au profond,
Ce qui me fit souffrir
Et toucher au tréfonds.
J’embrasse mes frères
Comme je m’embrasse moi
Je vous vois en misère
Dans de durs émois.
Regardez au devant,
Au delà du possible !
Vous serez dans ce vent
Porté par cette cible.
Petit bonhomme
aiwambalmaon nitoukerai tcheningoyé
Atato kenouiararo
Traversant les déserts
Il a trouvé une oasis
Son cœur alors s’est remplit d’air
Et d’images aux couleurs métisses.
Une amie avec qui jouer
A partager la traversée,
Une âme qu’il a retrouvée
Après quelques milliers d’années.
Et aujourd’hui petit bonhomme pourra réciter ses poèmes.
Aujourd’hui petit bonhomme pourra crier ses « je t’aime ».
Aujourd’hui petit bonhomme sera gentil pour quelqu’un.
Aujourd’hui petit bonhomme pourra sentir que nous sommes un.
Aujourd’hui petit bonhomme pourra partager son bonheur.
Aujourd’hui petit bonhomme ne connaîtra jamais plus la peur,
Jamais plus la peur.
anianou amoulé akeinl kelnéné kalnou boullila
hambéhé kalanié hambéhé kélénié
Hambéhé kélénié toua bouni falafénou béhé kélénié
Petit bonhomme ces yeux miroir,
Tu les à toujours mérité.
Et n’aie pas peur qu’il fasse noir
Car tu fais la réalité.
Petit bonhomme n’écoute pas ceux
Qui disent que la vie est souffrance !
Petit bonhomme n’écoute pas ceux
Qui n’ont pas eu, pas eu d’enfance
Petit bonhomme n’écoute pas ceux
Qui disent que la vie se termine
Petit bonhomme n’écoute pas ceux
Qui mettent un point à ce que tu imagine,
Imagine !
La foi en l'avenir
De ma guitare,
Je compte faire revenir,
S’il n’est pas trop tard,
La foi dans l’avenir.
Je ne suis pas de ceux
Qui te demanderont,
Je veux dans tes yeux
Le bonheur en expression.
Tu vois je souris
Quand je te sais heureux mon ami.
Jamais je ne faiblis
Face aux épreuves de la vie.
Chaque matin
Je m’adresse au divin.
Chacun de mes gestes
Soit la force du bien.
Comme le roc, le chêne, la montagne sacrée,
Je voudrais être celui, qui t’aide à monter.
J’espère comme moi que tu vois
Les couleurs infinies de tout ça.
J’espère comme moi que tu sens
La chaleur du fond des sentiments.
Comme moi, j’espère que tu goute
Au paradis qui se cache derrière le doute.
Et de toute ma voix
Je compte faire revenir
Cet écho en toi
La foi dans l’avenir
J’aperçois ton regard
Tu voudrais faire revenir
S’il n’est pas trop tard
La foi dans l’avenir.
Au fond de ton cœur
Tu voudrais maintenant tarir
La source des peurs
Tu sais qu’on peut ne plus jamais souffrir !
De ma guitare je compte faire revenir
S’il n’est pas trop tard
La foi dans l’avenir
J’aperçois ton regard
Tu voudrais faire revenir
S’il n’est pas trop tard
La foi dans l’avenir.
Au fond de ton cœur
Tu voudrais maintenant tarir
La source des peurs.
Tu sais qu’on peut ne plus jamais souffrir !
La rivière
Et en voyant la rivière j’ai compris
Comment coule l’eau,
Comment va la vie.
(bis)
Mais où sont-ils passés les sages et les prophètes,
Les fous du roi, les mages et les poètes ?
Mais où sont-ils passés les artistes intelligents
Qui font de leurs dix doigts de l’art innocent ?
Mais où sont-ils passés les conteurs et les joueurs
Qui nous font voir du rêve et ne demandent que le bonheur ?
Ceux qui agissent pour partager la beauté ?
Je lève mon poing bien haut, au nom de la liberté.
Dans les yeux d’une enfant j’ai vu la réalité,
Je me mets au service de l’immensité.
Que dans vos yeux à tous s’éveille comme une flamme,
Un éclat de merveille qui vient du fond de votre âme.
Et que tous les matins chacun en son intime,
Se dise « je suis bien » et non plus une victime.
Et en voyant la rivière j’ai compris
Comment coule l’eau,
Comment va la vie.
J’ai compris qu’un jugement n’existait pas
Et que si je prends le chemin pas à pas,
Je ferai toujours plus beau
Mon quotidien comme un cadeau.
Je ferai toujours plus grand
Mon destin, mes sentiments.
Je ferai toujours grandiose
Oh ma vie et en osmose
Avec toi, avec moi et tous ceux qui nous composent.
J’ai rencontré la mère nature
Se déployer de tout son brillant
Et dans le ciel l’emportant sur l’obscur
Me fit sentir que j’étais de ses parents :
Son fils exactement, son fils exactement.
Je t’en supplie, toi qui prends le message,
Va de ta vie et deviens le grand sage
Dont le monde à besoin pour enfin respirer,
Accepte le destin ! Pour cela tu es fais.
Son fils exactement, son fils exactement.
Samadhi
Va et traverse l’expérience !
Cours, saute et jamais ne t’arrête !
Même si la vie est de souffrance
C’est le bonheur ta seule quête.
Saute la tête la première
Dans le roc de l’atmosphère.
Par ici tu trouveras
Ce qui te réalisera.
Samah Samadhi.
C’est devant toi que se décline
Le champs de tous les possibles.
Et les couleurs par milliers
N’attendent qu’après ta parole.
Avance-toi et imagine !
Concentre toi sur cette cible !
Et les couleurs par milliers
Heureuses de jouer leur rôle.
Samah Samadhi.
Des profondeurs abyssales
Revient l’enfant téméraire
Conscience devenue totale
Il s’est adressé à ses frères.
« Combien de femmes et combien d’hommes
Ont-ils vu, ont-ils su ? »
« Combien de femmes et combien d’hommes
Ont-ils goûté à l’absolu ? »
« Combien de femmes et combien d’hommes
Se sont-ils posé la question ? »
« Combien de femmes et combien d’hommes
Ont-ils la moindre ambition ? » …
Il me faut traverser le monde,
Donner le corps et puis la tête.
Être actif à chaque seconde.
L’ardeur de la première quête
Je donnerai par mon image
Et infiniment concentré
Donnerai l’ardeur d’être sage,
Le goût de se réaliser !
Samah Samadhi.
Puissè-je atteindre la libération absolue.
Puissè-je faire que mon âme encore évolue.
(bis)
Puissiez-vous appréhender la matrice dans son entièreté
Puissiez-vous vous évader des grands murs de l’avidité.
Samah Samadhi
Des parts de moi ont besoin d’Elle
Tellement de parts, de la compassion.
(bis)
En mon cœur tout les ashrams du monde vibrent et battent à l’unisson.
Ici en mon sein se déploie, de tout les Bouddhas la noblesse.
Mon éveil est une pierre qui embrasse l’océan de l’unité quantique.
Comme des ronds dans l’eau, Ananda, la béatitude, touche toute la création.
Je m’expanse… je m’expanse.
Tel le soleil, ce prodigieux Amour rayonne sur un environnement qui s’épanouit.
Alors on danse. On rit. On chante, que la vie est belle.
Que la vie est belle !
Gloire ! Gloire ! Gloire à toi qui nous as faits et qui nous aime !
Gloire à toi qui nous as faits et qui nous aime !
De l’ignorance à la conscience tu nous mènes.
De la peur à l’Amour tu nous mènes.
De l’obscurité à la lumière tu nous mènes !
Et les âmes libérées, aujourd’hui, s’inclinent à tes pieds de lotus pour te porter louanges.
Ô toi, l’incommensurable Atman.
Ô toi, l’incommensurable Brahman.
Merci, merci, merci
Yevam
~Yod He Vod He Yaweh ~
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